Soyez incollable sur les appellations d'origine et les produits à indications géographique protégées. Consultez le moteur de recherche de l'Institut National de l'Origine et de la Qualité (anciennement l'INAO) en cliquant sur le lien suivant : Produits et dénominations agricoles protégés
Le site de la DGDDI (aussi appelée les douanes) récapitule les réglementations associées à la production, au stockage, au transport et à la vente des produits vinicoles . Retrouvez-le ici : www.douane.minefi.gouv.fr
Le site de la DGCCRF (aussi appelée les fraudes) vous rappelle les réglementations liées à la fabrication et à la vente du vin www.dgccrf.minefi.gouv.fr
Recherchez un texte, un reglement ou un décret sur la base EMCA (Editions du Marché Commun Agricole) via le lien suivant : www.emca.fr, lien : "accès à la base Euragrolex"
"Droit du Marché Vit-vinicole" de Jean-Marc Bahans et Michel Menjucq (Editions Féret, 2003).
"Manuel de Viticulture : guide technique de viticulture raisonnée" d'Alain Reynier (Editions Tec et Doc)
"Dictionnnaire encyclopédique des cépages" de Pierre Galet (Editions Hachette)
"Calendrier des Semis et des Travaux d'Agriculture, Jardinage, Viticulture, Sylviculture et Apiculture" de M.Thun (Editions Bio Dynamique, 2007).
"Installations vinicoles et d'embouteillage : conception, équipement, aménagement. TOME 1 : Généralités et réglementation" de Pierre Jacquet (Editions Féret, 1999)
"Installations vinicoles, TOME 2 : Transport de la vendange et vinification" de Pierre Jacquet et Christophe CapdeVille (Editions Féret)
Consultez la fiche métier de l'éleveur sur le site de l'ONISEP : www.onisep.fr
ZOOM : Relance de la filière des raisins de table
"35 000 tonnes de raisin de table produits en 1968, 3000 tonnes en 2002, deux fois moins de producteurs entre 1980 et 2000...La filière du raisin de table sur le Clermontais souffre. Pourtant, la motivation est présente, la qualité aussi. Quelles sont les difficultés de ces producteurs aujourd'hui? Est-ce un problème de positionnement, de lisibilité?
Un groupe d'élèves motivés de l'ENITA de Bordeaux s'est penché sur la question à la demande de l'Association Terres Vivantes 34. Celle-ci a proposé cette étude dans le cadre d’un projet de pays, projet bénéficiant du soutien du Conseil Général dans un objectif de restructuration de la filière. La conférence s'est tenue le 27 avril dans les locaux de la Communauté de Communes du Clermontais, réunissant producteurs, étudiants, élus, organismes publics (Conseil Général de l'Hérault et CIVAM) et autres professionnels. Etat des lieux.
L'étude menée par les élèves de l'ENITA s'est attaquée aux organes moteurs de la filière, analysant point par point les forces et les faiblesses du secteur. Une première enquête menée auprès des distributeurs et des commerçants a permis de mesurer leur motivation à s'approvisionner chez les producteurs du bassin Clermontais en raisins de bouche. Visiblement, le désir de distribuer des produits du terroir est bien présent, du moins pour ceux qui s'approvisionnent sans l'intermédiaire de centrales d'achat. En revanche, l'absence d'un organe de commercialisation commun (un interlocuteur unique pour les commerçants) a révélé quelques réticences. Les producteurs se sont accordés à dire que le syndicat existant n'était pas assez efficace sur le plan de la cohésion et de la distribution.
Ne disposant que de deux expéditeurs (dont l'un est largement majoritaire), inscrits dans une démarche individuelle, isolés, les producteurs de raisin de bouche sont moins forts et moins efficaces sur un plan économique mais aussi identitaire.
Pas facile d'adresser le marché professionnel de façon individuelle et d'envisager une réelle rentabilité.
Par ailleurs, les commerçants ont manifesté une nécessité de pouvoir fournir des produits sur une période plus longue : c'est ainsi que les raisins italiens innondent les rayons, leur climat étant plus favorable à une telle production.
Une seconde enquête a été menée auprès de 268 consommateurs locaux. Globalement, il est apparu que les personnes interrogées éprouvaient une vraie sensibilité pour les produits authentiques, et particulièrement locaux.
A contrario, les préférences alimentaires (souvent mentionnées par les jeunes consommateurs) semblent résolument modernes : ainsi la préférence irait à un raisin plutôt blanc, de grosse taille et sans pépins...Constat douloureux quand on sait que ce type de raisin a une place quasi monopolistique dans les rayons aux Etats-Unis depuis une vingtaine d'années. Coup dur pour la biodiversité...Sachant qu'un regain pour les produits traditionnels et variés revient outre-Atlantique, il y a donc espoir que les autres variétés de raisins puissent perdurer.
Faut-il donc conclure qu'il existe deux marchés pour le raisin de table? Les producteurs sont en mesure de fournir ces deux marchés et leur motivation a été particulièrement ressentie lors de cette conférence. Ils (et elles) sont prêts (prêtes) à relever les défis et ils ont le savoir-faire. L'affection que porte les consommateurs pour les produits plus authentiques, ces acheteurs "pro-bio" ou "pro-origines" ne pourraient-ils pas être satisfaits avec une communication renforcée, une charte de qualité ou des labels pour mieux s'y retrouver?
Le résultat de ces enquêtes a fait apparaître la qualification et la passion des producteurs locaux, tout en touchant du doight les faiblesses de la filière, essentiellement ressenties sur un plan structurel.
La difficulté à commercialiser les produits nuit au développement de la production et pour s'assurer de la revente des raisins les producteurs s'inscrivent dans une logique tant arboricole (pour les raisins de bouche) que viticole (pour écouler le reste de la production en raisins de cuve). Evidemment, pour ce faire, ils doivent continuer à exploiter des cépages à double-fin qui réduisent les possibilités en termes de diversification pour le marché du raisin de bouche.
L'exploitation des cépages à double-fin permet aussi d'avoir accès aux aides européennes. Mais des aides existent aussi pour la filière des raisins de bouche (dans le cadre arboricole) mais seule l'existance d'une structure commerciale peut en faire bénéficier. Estelle Olive (Terres Vivantes 34) est intervenue à ce titre pour rappeler la création récente du Groupement d'Intérêt Economique du navet de Pardailhan, un regroupement réussi qui a su créer un marché de niche.
La filière demande de l'aide et des solutions, les producteurs sont volontaires et disposés à partir sur de nouvelles bases. Charlaine Joulié (Direction de l'Agriculture et du Développement Rural du Conseil Général de l'Hérault) assure que le département sera attentif à l’accompagnement des initiatives qui seront portées par un collectif de producteurs. La création d’une nouvelle structure et la définition d'une charte de qualité paraissent donc être les premières pierres nécessaires à la redynamisation de la filière. La Chambre d'Agriculture ainsi que les CIVAM prévoient d'aider la filière via une expertise technique et des formations.
Nous espérons que cette étude aidera les producteurs du Clermontais à propulser la filière car la compétence est là. Affaire à suivre."
(Allison Wendt, correspondant du RLI les Sablières pour le Conseil Général de l'Hérault, reportage paru sur Agrihérault en 2008).
Cuniculture
La cuniculture (ou cuniculiculture) est l'élevage des lapins ayant pour objet principal la production de viande, mais aussi celle de poils (lapins angoras) ou de fourrure.
L’élevage consiste à gérer la reproduction des animaux et d’assurer, par le nombre d’animaux, une rentabilité suffisante à l’exploitation. L’élevage d’animaux, quelque soit la taille des bêtes, nécessite la fourniture d’abris, de nourriture et de soins adaptés à l’espèce concernée.
Cette production rapporte rarement un revenu confortable à l’éleveur qui exerce souvent une autre activité agricole en parallèle.
La gestation de la lapine varie de 29 à 32 jours. La lapine a le plus souvent des portées de 10 à 12 lapereaux ce qui équivaut à une production moyenne annuelle de 90 bêtes par an.
Aviculture
L’aviculture et la cuniculture utilisent des techniques d’élevage semblables, dites en basse-cour. C’est ainsi que vous retrouverez dans cette rubrique des informations parfois similaires à celles de la rubrique cunicole.
Trois structures professionnelles travaillent étroitement sur le plan des techniques d’élevage :
la Fédération Française de Volailles (FFV) créée en 1989
la Société Nationale de la Colombiculture (SNC) créée en 1903
la Fédération Française de Cuniculiculture (FFC) créée en 1961
Elevage équin viande
Selon un rapport d'activité établi par les Haras Nationaux en 2005, l'élevage équin en France représente :
1 million d'équins sur le territoire,
92 000 poulinières,
51 374 naissances déclarées en 2004 dont 29% de chevaux de selle, 29% de chevaux de course, 27 % de chevaux de trait, 7% de poneys et 8% de races avines
65% des éleveurs en 2005 n'ont mené qu'une jument à la saillie,
88% des poulains lourds naissent à des fins de consommation humaine
Elevage caprin et ovin
ASSOCIATION DE DEFENSE DU PELARDON
L'Association de Défense du Pélardon milite pour et promouvoit cette spécialité qui s'étend des Cévennes en Lozère aux Hautes-Corbières de l'Aude. Elle est à l'origine de la création d'un logo et organise, entre autre, la journée de promotion de l'AOC Pélardon de Printemps.
PASTORALISME ET HABITAT : Construction de cabanes.
Le SIME LR (Service Interchambres d'Agriculture Montagne Elevage) revisite l'habitat pastoral et vous propose de découvrir ses pages dédiées aux cabanes ici
Adapter son exploitation au tourisme agricole, c'est diversifier son activité dans le prolongement de l'activité principale. Source non négligeable de revenus supplémentaires, l'agro-tourisme permet notamment de dégager des bénéfices à des périodes où l'activité principale est ralentie : cela réduit le phénomène de saisonnalité.
L'économie actuelle et les tendances "nature" font de l'agro-tourisme un atout judicieux quand il est possible. Selon la structure de votre exploitation, vous pourrez proposer un accueil à la ferme en chambres d'hôtes, en gîte, en bungalow ou en camping. L'accueil à la ferme présente plusieurs avantages : un apport de revenus complémentaires, un moyen d'attirer les consommateurs directement sur le lieu de production pour favoriser la vente directe et la rencontre de ses clients, une occasion de faire parler de l'exploitation (publicité).
Les exploitations ouvertes à l'agro-tourisme s'intégrent généralement dans un réseau d'accueil à la ferme. Ces réseaux présentent l'avantage de réduire les coûts de communication par une mise en commun des fonds et de jouer le rôle d'organisateurs (création d'événements, présence sur les salons, vitrine sur internet...).
Voici quelques réseaux d'accueil à la ferme : découvrez-les et contactez-les pour connaître les modalités d'adhésion :
RELAIS BIENVENUE A LA FERME DANS L'HERAULT
Chambre d'agriculture de l'Hérault - Maison des agriculteurs, Relais Agriculture et Tourisme de l'Hérault
Bâtiment A - Mas de Saporta
CS 10010
34875 Lattes
Tel : 04 67 20 88 57
PERMANENCE SUR LES METIERS DE LA MER A LA CITE DES METIERS DE MARSEILLE ET DE PROVENCE ALPES COTE D'AZUR
L'Association "La Touline" propose des sessions d'information sur les métiers de la mer les 2nd vendredis de chaque mois.
Lieu de la permanence : La Cité des Métiers de Marseille, 4 -10 rue des Consuls – 13002 Marseille
Contact : Association La Touline
- Edition 2007 des chiffres clés de la filière pêche et aquaculture en France
Ce document a été conçu à l'usage des professionnels et de tous ceux qui portent un intérêt à la filière pêche et aquaculture. Il a pour objectif de rassembler dans un même document les principales données économiques du secteur, de la production à la consommation. Il est disponible en français et en anglais.
Vous pouvez le commander à documentation@ofimer.fr
La filière aquacole emploi une diversité de métiers à tous les niveaux dans l’entreprise et à tous les stades de la production : écloserie, captage, élevage, affinage et vente.
Formation initiale et formation par l’apprentissage
CAPMC : C’est le Certifcat d’Aptitude Professionnelle Maritime de Conchyliculteur. Il prépare au métier d’éleveur-producteur-expéditeur de coquillages en qualité d’employé ou d’employé qualifié. Le CAPMC se prépare au collège après la 5ème. Il peut être suivi d’un BEPM en cultures marines.
BEPMCM : Le Brevet d’Etudes Professionnelles de Cultures Marines se prépare en deux ans après la 3ème. Il prépare aux métiers de responsables d’exploitations conchylicoles ou d’employés qualifiés. Les candidats peuvent ensuite enrichir leur formation par un baccalauréat professionnel. Le BEPMCM permet à son titulaire d’exploiter une concession marine.
BEPA : Le Brevet d’Enseignement Professionnel Agricole en Aquaculture se prépare de la même façon, en deux ans, après la classe de 3ème. Il permet à son titulaire de devenir ouvrier piscicole qualifié. Une poursuite d’études est possible avec un BTA ou un Bac Pro.
BTA : De niveau 4, le Brevet Technique Agricole forme des ouvriers hautement qualifiés ou des futurs exploitants.
Formation continue
CACMNC : Le Certificat d’Aptitude à la Conduite des Moteurs des Navires Conchylicoles forme des matelots (pour les navires de plus de 25 tonneaux de jauge brute dédiés aux activités conchylicoles) ou des patrons (à bord des navires de jauge brute inférieure ou égale à 10 tonneaux, dédiés spécifiquement à la conchyliculture). Pour exercer en qualité de patron, il faut pouvoir justifier de 12 mois de navigation et d’être âgé de 21 ans au minimum.
Ce certificat se prépare en deux semaines. Il faut être majeur et se présenter à l’examen pratique avec un bateau à moteur.
FORMATION 240 HEURES : C’est une formation complémentaire en culture marines qui permet à son titulaire :
- de détenir une concession (à condition de justifier de 3 ans d’expérience professionnelle ou d’une année si le candidat est titulaire du CAPMC)
- de bénéficier de la DJA (Dotation Jeune Agriculteur)
- de bénéficier des aides à l’amélioration matérielle (avec 5 ans d’expérience professionnelle).
BPAM (Brevet Professionnel Agricole et Maritime) : Le BPAM se déroule en six mois et permet aux candidats nés avant le 1er janvier 1980 de prétendre aux aides dédiées aux jeunes agriculteurs (dotation et prêts à taux bonifiés). Pour se présenter à cette formation, il faut être majeur et justifier d’un an d’activité professionnelle.
STAGE PREPARATOIRE A L’INSTALLATION EN CULTURES MARINES :
Ce stage s’adresse aux candidats à l’installation issus des filières aquacoles. Le niveau d’études exigé dépend de l’âge du candidat. Il ne délivre pas de diplôme et prépare l’Etude Prévisionnelle d’Installation.
CACN (Certificat d’Aptitude de conduite du Navire Conchylicole) :
Le CACNC permet de devenir patron ou salarié d’un navire conchylicole à partir de 21 ans et après 12 mois d’exercice.
Les écoles
CEFCM
1 rue des Pins - BP 229
29182 CONCARNEAU CEDEX
Tél : 02.98.97.04.37
Fax : 02.98.60.41.13
email : cefcm@wanadoo.fr
COMMERCE :
Chef de quart 500
Capitaine 200
Matelot sur navire de commerce
Mécanicien 3 000kW
Mécanicien 750kW
Mécanicien 250 kW
PECHE :
Capitaine de pêche
Patron de pêche
Lieutenant de pêche
Capitaine 200/Capacitaire
Matelot sur navire de pêche
Mécanicien 3 000kW
Mécanicien 750kW
Mécanicien 250 kW
Cerfificat d'Aptitude à la Conduite des Moteurs et des Navires Conchylicoles (CACMNC)
PLAISANCE :
Capitaine 200 Voile
CFPPA de Blanquefort
84, avenue du Général De Gaulle BP 113
33294 BLANQUEFORT cedex - Tél. 05 56 35 61 10 - Fax : 05 56 35 61 00
e.mail : cfppa.blanquefort@educagri.fr
Web : www.formagri33.com
BPA et BP Productions Aquacoles
Stage Préparatoire à l’Installation
Lycée professionnel maritime du Guilvinec
ZAC de Kervac'h - BP 32
29730 Treffiagat
Tél : 02 98 58 96 00 - Fax : 02 98 58 32 16 www.lycee-maritime-guilvinec.com
Bac pro Maritime « Conduite et Gestion des entreprises maritimes »,
BEP maritime « Pêche » et « Mecanicien » et CAP maritime « Matelot »
Formations continues : Capacitaire/Capitaine 200
Certificat d'Initiation Nautique
Mécanicien 250 kW
Mécanicien 750kW
Certificat Restreint d'Opérateur SMDSM (CRO)
Lycée Régional d’Enseignement Maritime et Aquacole
Av. du Maréchal Juin
BP 529
17 022 La Rochelle
Tel : 05 46 43 00 48 www.lycee-maritime-larochelle.com
CAPM de matelot
BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
BEPM machines marines
CAPM conchyliculture
BEPM cultures marines
BAC pro cultures marin
stage 240 heures
Lycée de la Mer et du Littoral
Avenue William Bertrand
17 560 Bourcefranc
Tel : 05 46 85 45 05
Fax. 05.46.85.98.08 legta.bourcefranc@educagri.fr
- BEPA, BEPM, Bac pro, BTSA
- Licence Universitaire Professionnelle AGDE (Aquaculture et Gestion Durable de son Environnement)
Lycée professionnel maritime de Saint-Malo
116 boulevard des Talards
BP 24
35400 Saint-Malo
Tél : 02 99 81 97 10 - Fax : 02 99 82 37 34
- CAPM de matelot
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
- BEPM cultures marines
- préparation concours officier de 2e classe de la marine marchande
- Bac pro
Lycée Professionnel de Guérande- Olivier Guichard
3 rue des collèges 44350 GUERANDE
Tél : 02.40.24.93.10
Fax : 02.40.24.97.49
Courriel: lpe.guerande@ac-nantes.fr
- BEPM Cultures Marines,
- Bac pro Cultures Marines
et Productions Aquacoles,
- BTSA Productions Aquacoles
Lycée maritime de Ciboure - Saint-Jean de Luz
Quartier de l'Untxin - rue Eugène Corre
BP 316
64503 Ciboure cedex
Tél : 05 59 47 34 01 - Fax : 05 59 47 38 01
- BEPM marin du commerce
- BEPM Conduite et Exploitation des navires de pêche et Machines marines
- CAPM de matelot
CEMPAMA de Beg Meil
29 170 Fouesnant
02 98 94 41 70
- BPAM,
- Bac pro Responsable d’exploitation aquacole,
- Conduite de projet en milieu maritime et rural
- BEPM, Bac pro Cultures Marines
- Bac pro Charpentier de marine
- CAP Maritime de conchyliculture
Lycée Maritime et Aquacole
Rue du fort Boyer
BP 1356
44 315 Nantes cedex
Tel : 02 40 50 51 01
- BPAM, Stage 240 heures
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
- BEPM marin du commerce
LEGTA de la Lozère
Chemin de Fraissinet
48 500 La Canourgue
Tel : 04 66 32 83 54
Fax : 04 66 32 89 24
Email : legta.la-canourgue@educagri.fr
BEPA, BTA, BTSA
Lycée Maritime et aquacole
Rue Matignon BP 331
50103 Cherbourg Cedex
Tél : 02 33 88 57 10 - Fax : 02 33 20 69 32
- CAPM de matelot
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
- BEPM cultures marines
- BAC pro cultures marine
Lycée professionnel maritime
Boulogne-sur-mer / Le Portel
BP 1
62480 Le Portel
Tél : 03 91 90 00 90 - Fax : 03 91 90 00 91
- CAPM de matelot
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
INTECHMER
Digue de Collignon
BP 324
50 103 Cherbourg
Tel : 02 23 88 73 33
Fax : 02 23 88 73 39 www.intechmeriens.org
- DTSM (Diplôme de Technicien Supérieur de la Mer)
- DESTA (Diplôme d’Etudes Supérieures des Techniques Aquacoles)
- Licence Pro Commercialisation des Produits de la Mer
Lycée maritime Anita Conti
84,quai Guy de Maupassant
BP 85
76 402 Fécamp Cedex
Tél : 02 35 10 45 30 - Fax : 02 35 10 45 39
- CAPM de matelot
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
Lycée professionnel maritime des Pays de Loire
rue du Port Boyer
BP 5136
44315 Nantes cedex 03
Tél : 02 40 50 51 01 - Fax : 02 40 52 26 17
- CAPM de matelot
- BEPM conduite et exploitation des navires de pêche
- BEPM machines marines
- BEPM cultures marines
- BAC pro cultures marines
- Stage 240 heures, CACN
Maison Familiale Les Plantes
BP 455
85300 CHALLANS
Tel : 02 51 68 21 49
Fax : 02 51 68 17 33
BEPA, CAPM, BTA, BEPM, Bac pro
Maison Familiale et Rurale « Etangs de Haute Somme »
1 rond point du bois Fauvel
BP 14
80 340 Eclusier Vaus
Tel : 03 22 76 53 28
BEPA Productions aquacoles
CFPPA de Coutances
Route de MontMartin sur Mer
BP 722
50 207 Coutances
Tel : 02 33 76 80 50
Email : cfppa.coutances@educagri.fr
BPREAM, BPAM, Stage 240 heures
Lycée Professionnel Agricole de Château Gontier
Route de Sablé
53 200 Château Gontier
Tel : 02 43 07 17 24
Fax : 02 43 07 12 82 lepa.chateaugontier@educagri.fr
BEPA et Bac Pro Productions aquacoles
AQUACAEN
Esplanade de la Paix
14 032 Caen Cedex
Tel : 02 31 56 56 80
Fax : 02 31 56 53 46
Email : jmlebel@ibba.unicaen.fr
Master Pro Aquacaen
Lycée Professionnel Agricole du Morvan
Rue Pierre Mendès France
BP 30
58 120 Château Chinon
Tel : 03 86 79 49 80
Fax : 03 86 85 16 26 olivier.martin@educagri.fr